Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/79

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

puissiez vous passer de ces six cents livres ?

— Oui, mademoiselle, je suis justement dans celle position.

— Alors, vous m’obligerez beaucoup, monsieur, en n’insistant plus. Vous comprenez que l’on ne prête pas comme cela six cents livres à un homme que l’on ne connaît pas, qui part pour un long voyage et qui vous avoue ne posséder ni un sou vaillant, ni un ami.

À cette réponse atroce, faite au reste