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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/226

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Pontchartrain se leva, et, saluant Legoff :

— Monsieur, lui dit-il, soyez persuadé que j’attache une grande importance au sujet que nous achevons de traiter. Je vais y réfléchir mûrement. Avant peu, vous recevrez de mes nouvelles. Il est inutile, je pense, de vous recommander la plus scrupuleuse discrétion ?

Legoff sourit : ce sourire valait tout un discours de protestations.