Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/227

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le secrétaire d’État allait se remettre à son travail, lorsque le boucanier, qui déjà se dirigeait vers la porte de sortie, revint sur ses pas.

— Monseigneur, dit-il, un dernier mot. M’autorisez-vous à entretenir le roi du projet de Ducasse ? Oh ! ne craignez rien, monseigneur, poursuivit Legoff en remarquant l’émotion du ministre, non seulement je ne porterai pas atteinte à la gloire future qui doit rejaillir sur vous, si la réussite couronne, ainsi que j’en suis persuadé, mes efforts, mais je ne laisserai même deviner en rien à