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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/289

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passé, et qu’il allait mettre tous ses soins à racheter, par un constant repentir et de nobles efforts, les déplorables erreurs de sa jeunesse ! Il me peignit ensuite sous de si vives et si séduisantes couleurs le nouvel avenir qui, grâce à moi disait-il, l’attendait, qu’il finit par me rendre presque fière et heureuse de la conversion que j’avais opérée, du bien que je croyais avoir fait !…

— De cette croyance à un aveu, s’écria de Morvan en interrompant Nativa malgré sa promesse, il n’y avait qu’un pas !…