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Page:Eliot - Daniel Deronda vol 2&3.djvu/181

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— Je crois que nous ferions bien de nous retirer maintenant et de revenir plus tard, dit Deronda en serrant légèrement le bras de madame Meyrick, qui y consentit immédiatement. Il craignait que l’on ne fît allusion aux faits qui le concernaient et qu’il avait laissé ignorer à Mordecai, et il n’était plus inquiet maintenant de laisser le frère et la sœur ensemble.