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Page:Erckmann-Chatrian — L'ami Fritz (1864).djvu/106

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L’AMI FRITZ.

orgueilleuse. Cette petite nous fera de grands chagrins.

— Allons, calmez-vous, mère Orchel, dit Fritz en riant ; il vaut mieux être un peu trop fier que pas assez, croyez-moi, surtout pour les filles. Et, maintenant, au revoir ! »

Il se mit en route avec Christel, qui l’accompagna jusque sur la côte ; ils se séparèrent près des roches, et Kobus poursuivit seul sa route d’un bon pas vers Hunebourg.