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Page:Erckmann-Chatrian — L'ami Fritz (1864).djvu/122

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L’AMI FRITZ.

Il haussa les épaules, joignit les mains d’un air de pitié, et s’en alla.

« David, criait Sourlé dans la cuisine, le dîné est prêt, mets donc la table. »

Mais le vieux rebbe, ses yeux fins plissés d’un air ironique, suivit Fritz du regard jusque hors la porte cochère ; puis il rentra, riant tout bas de ce qui venait d’arriver.