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Page:Féval - La Bande Cadet, 1875, Tome II.djvu/119

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Lirette lui saisit les deux mains et le regarda dans les yeux.

— C’est donc bien vrai ! s’écria-t-elle ; vous m’avez entendue la réciter autrefois ! Et vous avez le papier dont M. Pistolet m’a parlé ! Le papier où est ma prière !