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Page:Féval - La Bande Cadet, 1875, Tome II.djvu/248

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XXII

Sacrifice


Un peu de temps s’était écoulé. Mme la duchesse de Clare et son fils restaient assis à côté l’un de l’autre, et la tête d’Angèle s’appuyait contre l’épaule de Georges.

Elle écoutait battre ce pauvre brave cœur.

— Je ne la connais pas, disait-elle ; je la haïssais parce que je savais qu’elle était l’appât, le même appât, tendu à chacun de vous deux. Tu m’apprends