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Page:Féval - Le Fils du diable - Tomes 1-2.djvu/477

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Reinhold l’éleva au-dessus de sa tête.

— Cinq cents louis que le petit homme est mort ! dit-il.

— Je ne parie jamais, répliqua Rodach ; voyons ce qu’il en est, je vous prie.

Reinhold abaissa la lettre jusqu’à la portée de son œil et la contempla en souriant ; puis il déchira l’enveloppe avec lenteur.

Rodach suivait tous ses mouvements, et imposait à son visage une expression de curiosité avide.