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Page:Féval - Le Fils du diable - Tomes 3-4.djvu/167

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Otto parlait si bas que le bruit des roues, glissant sur le sable du chemin, étouffait presque le son de sa voix.

Si quelque lueur soudaine eût éclairé la nuit qui régnait à l’intérieur de la chaise de poste, on aurait vu les deux autres voyageurs, le rouge au front et la tête penchée avec tristesse.