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Page:Féval - Les Habits noirs, 1863, Tome II.djvu/432

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diamants. Grande scène à ce propos entre Olympe Verdier, l’ancienne femme de Paolo, et la jeune ingénue Sophie.

Cela fait trois tableaux très intéressants. Au quatrième, nous sommes sous les ponts, décor dû au pinceau. La comtesse Fra-Diavolo chante la chanson de la boue avec un succès flatteur. Pas de sergents de ville.

Trois-Pattes veille et dissimule, mais dans une intention louable. Il désire se procurer le scapulaire de la Merci. M. Médoc (qui n’est autre que Rodolfo) a la même ambition ; il entasse dans ce but intrigues sur supercheries et entraîne le baron Verdier dans le piège. Tableau d’intérieur : Édouard et Sophie, amour pur. Tic respectable de la vieille mère qui veut donner des à-compte.

Sixième changement à vue : L’Estaminet de l’Épi-Scié. Danse de caractère, dix-huit billards, six clowns, trois cannibales. Dame instruite à avaler des sabres. Fra-Diavolo, faux marguillier, est assassiné par ses propres Habits Noirs !

Olympe Verdier retrouve au cou d’Édouard la croix de sa mère !!!

Trois-Pattes surprend le secret des bandits de la montagne !!!!!

« Prrrr… houitt ! » — L’harmonie du ruisseau. Polka de la poudrette.

V

La salle.

« Le mérite d’une œuvre d’art est dans la simplicité, professa le critique sérieux. L’école de Beaumarchais