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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/133

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plus grand, le plus brillant, le plus magnifique, celui qui s’élève au nord du square, entre la place et la rue : qui porte le même nom, devant le passage conduisant à Pembroke-Street.

Le luxe de cette aristocratique demeure était devenu proverbial ; les plus somptueuses habitations du West-End lui cédaient le pas, et il fallait que la noblesse anglaise, si riche, si vaniteuse, si passionnée pour ce renom que donne dans le Royaume-Uni l’exagération d’un luxe poussé jusqu’à la folie, courbât le front devant le faste babylonien étalé par un étranger.

Rio-Santo, dont le goût artistique et capricieux ne pouvait point s’accommoder des