Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/166

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

nom de Susannah, comme si ce nom eût fait vibrer au dedans de lui une corde aimée.

— Ce sont ses yeux murmura-t-il enfin, — mais plus fiers !… c’est son front, mais plus large : c’est toute sa beauté, mais plus hautaine et plus forte… Je voudrais la faire heureuse en souvenir de mon bonheur passé…

Il appela d’un geste le docteur Moore, qui s’était tenu à l’écart pendant son entretien avec Tyrrel. Le docteur s’approcha et se tint debout devant l’ottomane.

— Comment l’avez-vous trouvée ? demanda Rio-Santo avec intérêt.

— Mal, milord, au plus mal ! répondit