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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/167

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M. Moore en secouant gravement la tête. — L’origine toute morale de sa souffrance rend le traitement difficile, pour ne pas dire impossible… Je ne saurais à cela qu’un remède…

— Lequel ?

— Le bonheur.

Rio-Santo fit un geste d’impatience. Un nuage de tristesse passa sur son front.

— Ne pensez-vous donc pas que je pourrais la rendre heureuse ? murmura-t-il.

— La question n’est pas là, milord, s’il m’est permis de vous le dire. Vous savez mieux que personne l’état de trouble moral où vit depuis long-temps miss Mary Trevor… En ce mo-