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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/186

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sentait prêt à découvrir toutes sortes de choses fines, spirituelles, diplomatiques, dans le regard clignotant de ses petits yeux gris, qui étaient en observation, les matois, derrière le fourré touffu de deux gros sourcils crépus.

Par le fait, le prince Dimitri Tolstoï était un Tartare de mérite, soit dit sans raillerie aucune. Il avait su prendre, à Londres, une position de premier ordre, et y tenait pour ainsi dire la présidence effective du corps diplomatique.

Il se laissa tomber sur l’ottomane à côté de Rio-Santo.

— Marquis, dit-il, tout cela traîne en lon-