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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/187

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gueur, et l’empereur, mon maître, s’impatiente.

— C’est une chose fâcheuse, milord, répondit Rio-Santo doucement.

Le prince réprima un geste d’impatience.

— Vous semblez prendre bien philosophiquement le mécontentement du czar, monsieur, dit-il.

— C’est une chose fâcheuse, milord, répéta Rio-Santo. Je ne puis rien dire de plus, et j’ai coutume de caractériser ainsi tous les événements malheureux qu’il n’est point en mon pouvoir d’éviter.

— À la bonne heure, marquis, à la bonne