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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/191

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— Pardon, milord, d’avoir interrompu Votre Grâce, reprit aussitôt Rio-Santo de son ton ordinaire. Vous alliez prononcer de ces paroles qui nécessitent un châtiment positif, et j’ai besoin de ne pas perdre la coopération de Sa Majesté Impériale… Veuillez bien me comprendre, milord, et ne point rompre pour des motifs frivoles un pacte qui nous est mutuellement avantageux.

— À merveille ! murmura Tolstoï ; — nous allons traiter de puissance à puissance, à ce qu’il paraît : savoir, vous, monsieur le marquis, pour Votre Seigneurie, et moi pour l’empereur, mon maître… c’est charmant.

— C’est vrai, du moins, milord, répliqua paisiblement Rio-Santo.