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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/192

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Le Russe joua de nouveau de l’éperon et chercha une seconde querelle au tapis qui n’en pouvait mais.

— D’autant plus vrai, continua le marquis, que vos instructions, milord, renferment un paragraphe spécial qui me concerne.

— Comment savez-vous ? …

— Permettez… Ces sommes, dont vous faites tant de bruit, ne complètent pas, additionnées, le contingent que vous étiez chargé de me remettre par Sa Majesté Impériale.

— Qu’est-ce à dire, monsieur ? …

— Vous êtes mon débiteur d’environ trois cent mille roubles, milord.