Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/204

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ter de mes sincères et respectueuses excuses ? murmura Tolstoï, avec une humilité sous laquelle il y avait déjà bien de la rancune.

— Vous croyiez, reprit Rio-Santo, avoir affaire à un de ces aventuriers désespérés qui spéculent sur les passions secrètes des têtes couronnées, et parviennent, à force de mensonges, d’intrigues et de manœuvres, à soutirer aux princes quelque subvention, — opulente ou misérable, — suivant qu’ils portent comme moi un noble nom et des cordons sur la poitrine, ou, comme certains, un nom de roture et un habit qui a vu de trop longs jours… Vous croyiez déroger, pour ainsi dire, en vous abouchant avec moi…