Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/205

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Ah ! monsieur le marquis !… dit le prince.

— Vous vous demandiez, milord, s’il n’était pas intolérable et choquant de voir un homme comme Votre Grâce se déranger pour un petit marquis, — de contrebande peut-être… En vérité, je ne puis vous en vouloir.

— Sur mon honneur, monsieur le marquis…

— Mais ce qui a porté le comble à votre mauvaise humeur, prince, c’est que ce petit marquis n’a pas supplié Votre Grâce de lui prêter le soutien de ses hautes lumières ; que, loin de là, il a eu la maladresse grande de garder pour lui ses plans et ses projets….