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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/219

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— C’est un malheur, monsieur le marquis, dit le Russe dont le visage prit une expression sèche et glacée.

Rio-Santo ne releva point ce mot, et Tolstoï continua après quelques secondes de silence :

— Quelque admiration que puisse m’inspirer ce produit de votre imagination très féconde, monsieur le marquis, quelque sympathie que j’éprouve naturellement pour un projet dont l’accomplissement servirait, je dois en convenir, au plus haut point la politique de l’empereur, mon maître, je serai forcé, si Votre Seigneurie veut bien le permettre, de me tenir à l’écart dans cette circonstance.