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ainsi. Je m’approchai d’elle pour la consoler : mon père me repoussa rudement.
— Avez-vous bien dormi, Suky ? me demanda-t-il.
— Je ne dormais pas, monsieur, répondis-je, et j’ai vu…
— Vous me conterez votre rêve une autre fois, Suky… Mais ne dormez plus ainsi sur le carreau : les soirées sont froides et, — vous voyez, — vous êtes cause que je suis obligé de châtier Tempérance.
— Quoi ! m’écriai-je, c’est pour moi !…
— Écoutez, Suky, reprit Ismaïl avec son méchant sourire ; — car lorsqu’il souriait,