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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/362

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— J’allai chercher du genièvre. Elle but avidement et à plusieurs reprises.

Quand elle eut bu, elle se mit à chanter.

Je lui demandai instamment et à genoux quelle était cette belle lady qui s’était penchée sur moi pour m’embrasser.

Elle éclata de rire et but encore.

Puis, au lieu de se relever, elle s’étendit tout de son long dans la poussière en disant :

— Le juif me bat, mais il me laisse boire… Que me font les coups, à moi, quand j’ai du gin ?