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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/363

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— Tempérance, bonne Tempérance ! m’écriai-je, — répondez-moi, par pitié.

— Quand j’ai du gin, je ne crains pas les coups, répéta-t-elle ; — qu’il frappe, le juif, je boirai !…


FIN DU QUATRIÈME VOLUME.