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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/116

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mes, pas un n’ignore le nom du noble maître de cette maison ; pas un n’ignore non plus l’inimitié qui nous sépare… Car j’ai fait ce que j’ai pu pour nous rendre célèbres vous et moi, Godfrey.

— Vous annonciez le dénouement de cette comédie, monsieur ! dit White-Manor d’un ton provoquant et railleur.

Car la menace qui tarde à se réaliser redonne du courage aux cœurs les plus couards.

— Je vous prie de m’excuser, milord, répondit froidement Lancester ; — je cherche ici dessous une petite place pour me briser le crâne et n’en vois point de vide.

Le comte haussa les épaules.