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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/117

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— Prenez votre temps, dit-il en se rasseyant.

— Je vous rends grâces, milord… Comme je le disais à Votre Seigneurie, le fait de me voir tomber mort sur le trottoir de Portland-Place n’étonnera aucun de ces braves gens… ils nous connaissent.

— Qui donc oserait m’accuser d’un meurtre ? prononça dédaigneusement White-Manor.

— Tout le monde, milord… mais je crois que j’aperçois le sol… Tout le monde, disais-je, car le cri de détresse d’un mourant est chose qu’on ne songe point à révoquer en doute…

— Miséricorde ! s’écria le comte qui comprit