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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/136

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pour s’approcher de moi… Le docteur me donna un poignard… Au moment suprême j’appelai Roboam qui s’élança vers moi et je le tuai…

Le comte fit un geste d’horreur.

— Cela établit énergiquement la circulation de mon sang, milord, poursuivit Tyrrel. La trappe bascula ; je fus pendu juste au bon moment… Après tout, ce pauvre diable de Roboam m’a été fort utile, comme vous voyez.

— Et qu’est-elle devenue ? demanda tout bas le comte avec une sorte de timidité.

— Elle ?… Ah ! milord, nous parlerons de cela une autre fois… Diable ! l’histoire serait longue et nous entraînerait fort loin…