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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/181

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ment Lancester qui se tourna vers la fenêtre, — le piège était habilement tendu. Vous n’avez pas réussi, mais il n’y a point de votre faute, et je vous jure sur l’honneur que vous n’aurez pas à m’accuser d’ingratitude !

On entendit d’en bas claquer les dents du comte.

— Place ! continua Lancester qui se prit à descendre lentement les marches du perron, toujours en garde, et contenant du regard les policemen terrifiés. Place, Ismaïl Spencer, ou je vous tue !

Tyrrel ne bougea pas ; — seulement, sa main droite s’introduisit entre son gilet et sa chemise.