Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/180

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Diable ! diable ! voyez comme il ménage ses coups, le gaillard ! En définitive, je ne serais pas étonné qu’il ne fût pas fou.

Il n’y avait plus que cinq policemen debout au bas des marches, et aucun d’eux n’osait plus se hasarder à attaquer Brian. Tyrrel écumait de rage. White-Manor tremblait à sa fenêtre.

Brian boutonna son frac. Il fut évident pour tous qu’il allait s’élancer en avant et faire une trouée. Ce qui restait de policemen valides s’écarta des deux côtés du perron, ne se souciant guère d’affronter le choc.

Tyrrel se mit résolument à leur place.

— Milord mon frère, s’écria en ce mo-