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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/283

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conde fois Fergus roula sur le pavé, où il demeura quelques secondes, immobile et comme anéanti.

Il va sans dire que personne ne bougea pour lui porter aide. — Quelques laconiques dialogues couraient seulement dans l’assistance qui augmentait sur le trottoir et envahissait déjà la rue.

— Bonjour, monsieur Hobson… Comment va ?… Voici un jeune gaillard qu’on est en train d’assommer… Comment est votre lady ?

— Monsieur Sinclair, je vous salue… Le coup était bon… Le jeune homme a dû voir du feu… Votre lady se porte bien ?