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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/284

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— Ce qui est sûr, c’est qu’il en a assez, je crois… Voyez, il ne bouge plus.

Quelques mains applaudirent. — Le coup était bon. — Godfrey, athlète émérite, en frappant un homme tout à fait étranger à l’art du pugilat, abusait assurément de son avantage et faisait aussi positivement acte de lâcheté qu’un soldat armé de toutes pièces qui se servirait de son épée contre un ennemi désarmé, mais, à Londres, nous ne saurions trop le répéter, on ne raisonné point ainsi. Le sens de la générosité y fait défaut à tous. Être le plus fort, voilà l’honneur ; être le plus riche, voilà la gloire.

C’est au point qu’on serait fort embarrassé pour découvrir l’endroit précis où commen-