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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/311

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malheur et n’eût point su définir l’espèce ou l’étendue de ce malheur.

— Je ne sais… je ne sais ! murmura-t-il avec fatigue. Peut-être ai-je perdu la raison…

— Oh ! que non pas, mon joli jeune monsieur, répondit la voix de Bob, qui fit tressaillir le malade sous sa grosse couverture de laine grise ; — vous avez seulement eu une petite fièvre de rien, avec quelque chose comme un peu de délire pendant un mois à six semaines… voilà tout.

Fergus rouvrit les yeux et ne put retenir un mouvement de dégoût en voyant le crasseux visage de Bob Lantern sourire à quelques pouces du sien.