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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/361

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Le vin de Porto surtout ne mêle-t-il pas une douce dose d’agréable à l’utile, représenté par le bœuf rôti et la purée de pois ?

Certes, les citoyens d’un pays assez opulent pour convier ses malfaiteurs à de tels festins doivent mener une royale vie, car comment penser que le gouvernement songe à gorger des criminels avant de venir en aide à l’innocence indigente ?

Évidemment ce serait là un éloquent appel au crime…

Et les choses vont ainsi pourtant, absolument ainsi. C’est le même pays qui entasse les provisions de toute sorte dans la cale des bay-ships et qui laisse périr cinquante mille mal-