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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/369

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Icare, n’eût pas même pu essayer ses ailes de cire s’il ne fût monté au sommet d’une haute tour.

Randal Grahame servit en quelque sorte de repoussoir au pénétrant mais trop audacieux génie de Fergus. Il lui montra les problèmes, ce qui fut une occasion de les résoudre.

Et, dès ce temps, comme toujours depuis, Fergus se servit de l’instrument que la destinée mettait entre ses mains. Il l’aima. Mais il ne l’éleva point à la dignité de confident. Chaque problème résolu resta en lui. Randal, ignorant et devant ignorer toujours le plan de la grande bataille, ne connut que les détails suggérés par lui-même, quelques projets d’escarmouche où il devait faire le coup de fusil en tirailleur.