Page:Fauche - Le Mahâbhârata, tome 1.djvu/75

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Immédiatement après, ce sont les Kourouides à leur tour, qui enlèvent des bestiaux. 487.

Le fils de Prithâ est vainqueur de tous les Kouravas dans un combat, et Kirîti par sa vaillance reprend le bétail aux ravisseurs. 488.

Alors Virâta donne Outtarâ, sa bru, à Kirîti pour qu’elle soit l’épouse d’Abhimanyou, le meurtrier des ennemis et le fils de Soubhadrâ. 489.

Ceci termine le grand quatrième chant, que le sublime anachorète évalue ici, croyez-moi ! à soixante-sept chapitres bien comptés et deux mille cinquante-sept çlokas. 490-491.

C’est en tel nombre que le Maharshi les a récités dans ce chant. Après lui, écoutez le cinquième, nommé l’Oudyoga-parva et qui mérite bien d’être connu. 492.

Tandis que les Pândouides habitaient Oupaplavya, le désir de la victoire conduisit Arjouna et Douryodhana auprès de Vâsoudéva. 493.

« Que ta majesté daigne, lui dirent-ils, faire alliance avec nous dans cette guerre ! » À ce langage, Krishna à la haute sagesse répondit : 494.

« Taureaux du troupeau des hommes, à quel guerrier donnerai-je ici, ou moi seul pour conseiller sans que je prenne aucune part au combat, ou une armée au grand complet ? » 495.

Le pauvre Douryodhana à l’intelligence étroite préféra une armée ; Dhanandjaya choisit d’avoir pour conseiller Krishna, quoiqu’il ne dût pas combattre. 406.

Tandis que le roi Madrarâdja se rend vers les Pândouides, Souyodhana le gagne dans sa route avec des présents. 497.