Page:Fauche - Le Mahâbhârata, tome 1.djvu/76

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« Arjouna, lui dit-il, a choisi pour sa grâce les conseils de Krishna ; fais alliance avec moi ! » Çalya promit et marcha contre les Pândouides. 498.

Puis, viennent le chapitre nommé Çanti, où le monarque raconte la victoire d’Indra ; et la mission du pourohita, que les Pândouides envoient chez les Kouravas. 499.

C’est alors que Dhritarâshtra, l’auguste et puissant monarque, le fils putatif de Vitchitravirya, ayant ouï et les paroles du pourohita, et la victoire d’Indra, et le retour de l’archi-brahme, envoie, poussé par le désir de la paix, Sandjaya en ambassade chez les Pândouides. 500-501.

Ici, diverses paroles utiles sont adressées par Vidoura au sage roi Dhritarâshtra. 502.

Ici encore Sanatsoudjâta parle de l’adhyâtma suprême au monarque accablé de chagrin et ne trouvant de plaisir que dans la douleur. 503.

Sandjaya, au point du jour, dans une conférence avec le roi, expose de quelle étroite amitié sont unis Arjouna et l’auguste Vâsoudéva. 504.

Ici, désirant la paix et touché de compassion, Krishna va de lui-même essayer de rétablir la concorde dans la ville appelée Nâgasa. 505.

Le prince Douryodhana repousse les paroles de Krishna, qui demande pour la paix ce qui est à l’avantage de l’un et de l’autre parti. 506.

On raconte ici l’épisode de Dambhodbhava, et celui du magnanime Mâtali, cherchant un fiancé pour sa fille.

Ensuite vient l’histoire du maharshi Gâlava ; puis, on dit l’enseignement donné au fils de Vidoulâ ; 507-508.

La délibération de Karna, de Douryodhana et des autres, qui ont la science du mal ; la puissance de s’iden-