Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
198
En prenant le thé.
t’aime… parce que tu es le cœur, et que… la lorgnette… c’était la tête.
— Ah ! merci…
— Petit mari, me dit après un instant ma petite femme, quelle heure est-il ?
— Minuit, chérie.
— Dis donc, je n’ai pas faim, moi, et toi ? Ne soupons pas, veux-tu ?
Et me prenant la main pour m’aider à me lever du fauteuil :
— Il y a déjà deux heures que la veilleuse brûle dans notre chambre, me dit-elle, et je tombe de sommeil ! Viens-tu ?