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Page:Fleuret - Histoire de la bienheureuse Raton, fille de joie, 1931.djvu/115

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elle forma le vœu qu’il la mêlât toujours à ce souvenir.

— On est pien caie, Matemoisselle Raton ! dit aussi malicieusement que possible M. Rapenod qui s’avançait vers le fiacre. Che vois que l’on commence à se técourtir !…

— C’te jeunesse a pris son temps, dit le cocher en clignant de l’œil. J’aurions pu boire dix s’tiers ! Foi d’Monsieur Guillaume que j’sommes, on a dû s’bien faire embrasser, car on était rouge en r’descendant. Et, dans la rue, on en r’demandait encore !…