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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/11

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tre et caressant du doigt les alentours du nombril mystérieux comme un antre en miniature, propice aux ébats de quelques nymphes naines. Avec quels délices insinuait-elle sa main douce entre ses cuisses chaudes où elle découvrait la blonde toison frisée ! Et la jeune vierge devinait en les voyant à demi réfléchies, par le miroir complice, les jolies fesses dont elle savourait la rondeur exquise, beau globe séparé par la fente familière depuis longtemps à ses doigts caressants.

Mais combien eût-elle admiré encore plus, la jolie Jacqueline, si elle avait pu dévorer des yeux, cette fente mignonne, ambrée délicieusement, féerique et charmante route conduisant au centre voluptueux !…