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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/113

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cherchait à être en faute le plus souvent.

Que dût-il faire comme pénitence ? C’est là où l’imagination libertine de Colette se donna libre cours !

Et combien de fois le jeune homme dût-il baiser les mains et même les pieds des jeunes filles, s’agenouiller devant elles, les déchausser et les rechausser !

Et même pour finir, Colette s’enhardit à imposer à Roger quelque chose qui l’affola complètement : Déshabiller Jacqueline ! Et baiser au fur et à mesure qu’il en débarrasserait le corps de la jeune fille, le corsage et les lingeries…

À ce commandement imprévu, Roger rougit d’émotion ; mais il est heureux dans le fond, car cela