Aller au contenu

Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/114

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 114 —

donne une intense satisfaction à son désir amoureux.

Gauchement, il dégrafe la robe blanche et le corsage, et il les fait glisser et va les poser sur un fauteuil, après les avoir baisé pieusement ! Puis, il revient vers la jeune fille, rougissante autant que lui.

Comme elle est jolie, en combinaison avec le petit pantalon froufroutant et hardiment fendu d’une grande échancrure en son milieu, d’où surgit d’affolantes touffes blondes !

En tremblant, Roger enlève le pantalon, le porte à ses lèvres et en respire le voluptueux parfum intime. Puis il déboucle la ceinture qui retient les délicieuses jarretelles mauves…

Voilà Jacqueline presque nue !