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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/115

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Encore un léger voile, la fine chemise transparente que le jeune homme fait glisser après avoir fait passer les rubans roses pardessus les épaules, le long des bras.

D’un air amusé, l’œil brillant et un sourire polisson aux lèvres, la belle Colette assiste à la délicate opération et se réjouit du trouble et de l’émoi de Roger. De ses gestes, elle encourage Jacqueline à se laisser faire, puis quand le déshabillage est terminé, elle commande à nouveau, véritablement inspirée par le démon du libertinage :

— Jacqueline ! va te coucher sur ce divan bas ! Et vous, Roger, agenouillez-vous et baisez-lui les fesses !

Cette fois-ci, Jacqueline hésite ;