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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/117

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tacle offert à sa vue. Jamais encore, si ce n’est pendant un court instant, l’autre jour, au parc, il n’a vu les fesses d’une femme. L’on pense si sa curiosité trouve à se satisfaire ! Et avec d’autant plus de ferveur que le joli derrière exposé à ses yeux, est celui de Jacqueline, dont il souhaitait voir et caresser les seins mignons tout à l’heure, pendant le repas ! Combien a-t-il plus maintenant, puisque c’est le derrière de la jolie fille qui est devant lui, offert à ses baisers.

Oh ! le merveilleux globe ! Chaque fesse bombe délicieusement dans une harmonie de chair bien blanche ; et les séparant, une large fente ambrée semble se perdre dans un charmant mystère plein d’ombre, d’où sortent timidement