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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/118

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quelques poils blonds comme des fils d’or frisés.

Roger est véritablement attaché aux fesses, et ses yeux ne voient qu’elles ! Il faut pour le tirer de son extase, la voix de Colette qu’il entend soudain :

— Allons Roger, embrassez-les !…

Jacqueline est toujours en position d’attente, le derrière haut. Alors, doucement, Roger s’incline, et y pose ses lèvres, passionnément.

Ah ! ces baisers sur les jolies fesses rebondies de l’exquise petite blonde ! Le jeune homme y colle ses lèvres, amoureusement, pieusement, en proie à une sorte de délire sacré ; il passe de l’une à l’autre, en s’attardant longuement dans la fente qu’il parcourt