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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/119

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toute, du haut en bas…

Mais voici que la douce Jacqueline commence à gémir, émue par ces baisers qui l’excitent. Alors, Colette se levant, repousse Roger ; puis elle va s’allonger à côté de la petite cousine, et se met en devoir d’éteindre le feu allumé par le jeune homme.

Et Roger, avec stupeur, assiste à la répétition de la scène lesbienne, seulement entrevue dans le parc…