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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/137

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il se promit de baiser les fesses de Colette comme il avait baisé celles de la petite blonde.

Aussi, arrivé dans la bibliothèque, il ne fut attentif qu’à serrer de près la jolie Colette, laquelle tout d’abord fit mine de ne rien comprendre, et lui commanda assez sèchement de monter à l’échelle et de ranger ses livres.

Mais quand il eut achevé ce rangement, et que descendu de l’échelle, il se trouva près d’elle, Colette s’assit dans un large fauteuil et l’attira par la main.

— Roger, comme vous étiez heureux l’autre jour d’embrasser les fesses de Jacqueline !…

Le jeune homme, interdit, commençait à rougir et ne répondit pas. Mais Colette continua :