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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/151

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maintenant comme l’autre jour… »

Car l’amoureuse Colette n’était pas encore satisfaite.

Roger de Huchetelles la considéra un moment, en proie à l’admiration la plus vive. Elle avait un corps splendide, lequel ne le cédait en rien à celui de la douce Jacqueline.

Une poitrine admirablement bombée avec les seins aux mignonnes pointes dardées. Un ventre aux courbes harmonieuses, se perdant vers la mystérieuse toison brune, découverte par l’écartement des cuisses bien en chair. Et deux jambes merveilleuses terminées par de jolis petits pieds admirablement cambrés par les chaussures de daim au talon haut.

Ce gracieux spectacle raviva