Page:Foucaux - La Reconnaissance de Sakountala.djvu/220

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que le reste de l’armée. Ces deux bataillons étaient commandés par des femmes, l’un par Mama Bourroun, l’autre par Mama Tchoumbéhi, qui étaient à la tête des serviteurs femelles de la famille de Nizam.

Une partie de ces troupes existait encore en 1815. (Hamilton’s East India Gazetteer, 2e édition, t. I, p. 677.)

Yayâti. V. Pourou.

FIN DES NOTES.