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Page:Gabriel Ferry - Les aventures d'un Français au pays de Caciques, 1881.djvu/27

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compte que m’avaient causé mes premières relations avec ce singulier personnage. D’ailleurs, cette leçon était la dernière que devait me donner le lépero, et à cette pensée je ne pouvais me défendre d’un peu de pitié pour lui. J’avais tort cependant, comme on va le voir, de croire tous mes comptes réglés avec mon maître Perico.